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La préparation mentale du grimpeur, kezako?

La prépa mentale, tout le monde en parle, mais cette pratique reste encore trop peu développée, notamment en escalade. C’est pourquoi, en partenariat avec Jonathan Bel Legroux, nous allons lancer une série d’articles dédiés au mental. Histoire de bien commencer, on démarre avec un petit dossier sous forme de questions/réponses afin de refaire le point sur ce qu’est la prépa mentale.


Qu’est ce que la prépa mentale ?

La préparation mentale c’est un ensemble de techniques qui visent à optimiser l’état d’esprit, les habiletés cognitives et les prises de décisions du grimpeur. Mais c’est aussi un domaine qui cherche à proposer des solutions par rapport à la gestion des émotions, comme celle de la chute, de la pression en compétition, ou de la réussite lorsqu’on est dans les derniers mouv’ d’un projet…

En France, on y trouve différentes techniques : la sophrologie, l’hypnose, la PNL, l’autohypnose, la visualisation… Mais qu’importe l’outil, c’est l’efficacité qui va nous importer. Seulement voilà, souvent, on s’intéresse à ce domaine lorsque le mental n’est plus à « préparer », mais plutôt à « réparer ». Coach mental depuis plus de 12 ans, auteurs de deux livres sur le sujet, et travaillant avec des centaines d’athlètes pros, dont des grimpeurs bien entendus… Voici mon conseil : hacker le système, et entrainer votre mental plutôt que de le préparer !

Pourquoi en faire ?

Souvent, c’est lorsque plus rien ne va qu’on s’intéresse à ce domaine. Pourtant, avant de commencer à grimper, avant de travailler les « skates de l’espace », les « dynos », les tractions à un bras, il a fallu d’abord dépasser les émotions et les appréhensions de peur de la chute par exemple, puis développer les prises de décisions, la lecture… Tous ces savoirs sont des briques d’une seule est même maison : le mental. Au début, c’est le mental, porté par l’envie et le plaisir souvent, qui nous pousse à continuer de grimper. Puis plus tard, on développe d’autres facteurs de l’entrainement. Jusqu’à arriver à un palier. Si les choses étaient bien faites, on continuerait d’entretenir l’envie, de lever les appréhensions, on continuerait de croire que tout est possible et accessible. Mais souvent, ce n’est pas le cas. Et c’est là que des experts du mental interviennent. Ce qui est une bonne chose. Mais, je reste convaincu que le premier coach mental du grimpeur ce doit être le grimpeur.

Après, c’est vrai qu’il peut être utile des fois d’être deux pour réfléchir à une stratégie de prise de décision à améliorer, à l’utilité d’une émotion. Souvent, ce qui a amener les grimpeurs à faire appel à moi c’est cette phrase : je sais que je peux faire plus, être plus fort, mais mon adversaire, c’est moi, et je ne sais pas comment faire.

Et oui, l’escalade ce n’est pas grimper. C’est faire parfois taire la partie de nous qui croit qu’on y arrivera pas. Grimper ce ferait souvent plus simplement si il n’y avait pas cet adversaire intérieur.

Celui qui apporterait les pensées parasites, les émotions de colère, de pression, cette envie d’être parfait en compétition comme à l’entrainement, ce besoin de contrôler même ce qu’on ne peut pas… Et bien voilà pourquoi entrainer son mental. Car il n’est pas que cette facette là. Il est aussi cette facette de vous qui rêve de progresser, d’aller plus haut, de passer une après midi à l’ombre des blocs, de voyages et de big wall.

L’entrainer régulièrement c’est rester en paix à l’intérieur pour n’avoir qu’un mur à affronter, ce qui est déjà largement suffisant.

Comment ?

Avec des outils simples. Que vous pouvez lire, apprendre. Pour ma part, j’en ai mis plus d’une centaine dans mon prochain livre (L’incontournable de l’autohypnose pour la performance » aux Editions Amphora). Mais avant tout avec ce que nous avons dans notre tête (et je ne pense pas au cerveau) : l’ensemble des images et des idées remémorées ou imaginées que nous avons.

Notre imaginaire est fort, très fort. Il peut cloué au sol un grimpeur, si celui-ci croit profondément à la chute. Notre vie de grimpeur est remplit de scénarios catastrophe qui ne verront jamais le jour. Notre imaginaire, utilisé quand nous étions enfant pour apprendre et construire notre réalité, est mis de côté plus tard. Alors que celui-ci nous pilote plus que ce que nous pensons. Commencez à mettre les mains dans cette facette de votre entrainement : vous vous imaginez galérer sur un mouv’ ? Pourquoi ? Avez-vous choisi cette représentation ? Vous vous imaginez tomber ? Pourquoi ? Parce qu’on vous a parlé du crux ? Et si vous n’en aviez jamais entendu parlé, qu’auriez vous imaginé ?

Nous sommes remplit de « spam » mentaux, par les pensées qui viennent de nous ou des autres, les représentations. Devenir le pilote de votre mental va vous permettre d’être acteur plutôt que spectateur.

Un truc à tester au prochain entrainement ?

Testez ceci : Avant de partir dans un bloc, ou une voie, demandez vous quelle représentation de l’effort avez-vous en premier.

Puis demandez vous qu’est ce qui justifie cette projection mentale ? Ceci va vous donner des pistes sur vos références. Est-ce que c’est les autres qui vous ont aiguillé ? Est-ce que c’est vous-même ? Parce que vous vous dites quelque chose sur vous ? Votre gabarit ? Vos capacités ? …

Et si tout cela était faux ? Un peu à la Matrix, dans cette entrainement, imaginez que tout ce que vous pensez à ce moment là est ni faux, ni vrai. Imaginez « brouiller les images, atténuer le volume des pensées ». Et grimpez.

Prenez des notes sur cet entrainement là, pendant et sinon après.

Et tenez moi au courant de ce que vous avez trouvé de différent 😉

Bonne grimpe à tous et à bientôt pour un autre article.

Jonathan Bel Legroux Insta : jbellegroux

Après le Vintage Rock Tour, Seb Bouin lance « Hidden Gems »

Après avoir (re)visité quelques unes des falaises historiques françaises (Buoux, le Verdon, Céuse, les Eaux Claires, le Saussois et le Cimaï) durant son Vintage Rock Tour, il fallait bien que Seb Bouin se mette dans un autre projet pour toujours plus de grimpe en falaise… Cette nouvelle idée répond au doux nom de « Hidden Gems » et constituera à nouveau une série. L’objectif est simple: trouver les joyaux cachés de l’hexagone.

Il est temps d’aller de l’avant, de découvrir, de développer un peu plus ce sport, et d’apporter une nouvelle touche en France. L’objectif est simple, trouver les nouvelles falaises, les king lines cachées, équiper, rencontrer les locaux, développer, et pour sûr envoyer du lourd dans toutes ces voies !

Vous l’aurez compris, on risque d’entendre à nouveau parler de Seb Bouin dans les semaines et mois qui arrivent. Restez connectés, cette nouvelle série donne déjà l’eau à la bouche et nous nous ferons un plaisir de vous relayer toutes les infos sur le sujet.

Une nouvelle salle Altissimo ouvre ses portes à Lisbonne

Altissimo, réseau de salles 100 % escalade, poursuit son développement et ouvre une nouvelle salle d’escalade à Lisbonne, Portugal.

En juin 2022, Altissimo Lisboa, première salle d’escalade privée 100% escalade proposant des voies et du bloc de la « Cité aux mille couleurs », ouvre ses portes au public.

Avec une surface grimpable de 820 m2 de mur à corde et de quasi 300 m2 de bloc, Altissimo Lisboa accueille les Alfacinhas (surnom donné aux habitants de Lisbonne) 7 jours sur 7, leur permettant ainsi de découvrir les plaisirs et sensations de hauteur et de vide, en toute sécurité, sans contrainte.

Située dans le quartier de CACEM, Altissimo Lisboa propose des voies d’une hauteur de 8 à 14 m répartis sur 47 relais proposant pas moins de 120 voies de tous niveaux et presque autant de bloc.

Chacun pourra y grimper selon ses envies, en tête, en moulinette mais aussi en autonomie grâce aux enrouleurs automatiques.

L’ouverture au public d’Altissimo Lisboa est prévue en juin 2022.

Nolwen Berthier: « C’est une de ces voies qui te laissent miroiter au premier abord que c’est jouable »

Suite à sa grosse performance en début de semaine avec l’enchaînement de « Supercrackinette », 9a+ à Saint Leger, nous avons posé quelques questions à Nolwen Berthier pour en savoir un peu plus…


Quand, et pourquoi avoir choisi de te mettre dans ce projet de supercrackinette?

J’ai essayé Supercrackinette pour la première fois il y a 2 ans. Pour me lancer dans un ultime projet, je voulais trouver une voie pas trop morpho, si possible dans mon style, pas trop loin de la maison … et avant tout qui me motive ! Et bien vous le croirez ou non, mais malgré les nombreuses falaises et belles voies du Sud de la France, ce n’est en réalité pas si facile de tout combiner ! “Supercrack” rassemble un peu de tout cela, et même si je n’ai jamais fait de 9a, pourquoi pas me lancer dans cette aventure ? Dès les premières montées, j’avais bien compris que c’était une de ces voies qui te laissent miroiter au premier abord que c’est jouable, mais que quand venait l’heure d’empiler tous les mouvs, ce n’était pas le même game… Peu importe, l’aventure était lancée !

Quelles ont été les principales difficultés pour toi dans cette voie?

Physiquement, c’est sans aucun doute, d’avoir le niveau de force requis pour le premier crux ! Rien que pour faire ce mouvement intrinsèquement, il m’a fallu quelques séances. Après, comme dans tout projet dur, il y a également un challenge mental. A partir du moment où tu comprends que tu peux enchainer, tout bascule. L’enjeu peut vite prendre le dessus et il faut arriver à conserver un équilibre entre l’envie de grimper et celle de clipper le relais. Combiner ceci avec la gestion de la météo, de l’entrainement, du repos, des contraintes d’emploi du temps, …

Comment es-tu restée motivée et engagée tout ce temps pour ce projet?

Dès le commencement, j’ai pris soin de cette motivation. Je savais que ce serait un projet qui ne se ferait pas en quelques semaines alors j’ai alterné périodes de travail de la voie et temps d’entraînement, pour ne pas tomber dans la monotonie et attiser cette envie profonde de mettre des runs gagnants. Je me suis aussi fixé de nombreux objectifs intermédiaires : faire le mouvement du crux, puis faire le mouvement en partant 5 mouvs en dessous, puis partir du même endroit et empiler les 2 crux, faire le crux lestée à 3 kg, puis toute la section, … Toutes ces étapes m’ont permis de matérialiser un réel avancement et de conserver une forme de complicité avec la voie, où chaque séance reste un jeu qui ne laisse pas s’instaurer la frustration de tomber toujours au même mouvement.

© Antonin Rhodes

Raconte nous comment s’est passé l’enchaînement (le détail de la journée et du run)…

Lundi de Pâques. Météo annoncée: nuageux toute la journée, 18°C, 15 km/h de vent, 24% d’humidité. Bref, les condi idéales. 9h30, petit déjeuner, il fait en fait grand soleil. Génial… Peut être que ça va se couvrir dans l’aprem ? Essayons de ne pas trop trainer quand même … on sait jamais ! 11h, c’est parti pour le classique 7b d’échauffement. J’ai jamais autant forcé. On va dire que c’était à cause du soleil. Message des copains : « Au fait, ça te dit un resto ce soir ? » Pourquoi pas, on verra ce soir … 11h45, la deuxième classique, 8a+. J’ai quand même pris des bonnes bouteilles aujourd’hui … Bon, il était en plein soleil aussi. La forme ne s’annonce pas incroyable … D’un autre côté, tout le monde grimpe à l’ombre, c’est ptet un signe ? Bon au moins j’aurais pas l’onglée … 12h30, la voie est encore à l’ombre. Le fameux petit vent du pilier de Praniania souffle, les dégaines bougent. C’est peut être pas si mal ? Quelques tractions, je ne me sens pas très échauffée. Tirons un peu sur l’élastique. 13h, le crux commence à passer au soleil. Là faut y aller. Quelques suspensions sur la poutre, La chasse au neuf de pâques est ouverte ! Noeud de 8, chausson gauche, chausson droit, sac à pof, magnésie liquide. A nous deux Supercrack !

Les mouvs s’enchainent, je me laisse grimper, les prises sont fraiches sous mes doigts. J’arrive dans l’approche du premier crux, première relance, je me sens plutôt solide physiquement. Deuxième relance, j’attrape parfaitement l’arquée du crux. Je prends l’inter, je bouge les pieds, je ferme le bras. Et … j’attrape le mono !!!!! Wow, le mouv’ m’a presque semblé facile, c’est ouf. Bon, restons concentrée. Me voilà sur la tempo. Ce n’est pas très confortable mais je délaie bien. J’ai quand même pris une petite pétée et mes doigts sont un peu froids. Il faut que le sang revienne si je veux avoir des bonnes sensations dans le crux qui m’attend au dessus. Mais pourquoi mes jambes se mettent à trembler ? Si ça continue je vais pas réussir à charger les pieds… ! Respire, ça va se calmer. Je reste plus longtemps que prévu sur le repos pour gérer tout ça. Je me remémore tous les petits détails à avoir en tête, je souffle deux grands coups, Tchii, Tchii, c’est reparti ! L’approche se passe bien, je place bien mes doigts sur la prise de mise en place, je monte les pieds, je pourfends la prise du crux et … Waaa ! je donne tout ce que j’ai pour aller dans la boite aux lettres… Je l’ai. Incroyable. Je ne suis pas tombée. Il me reste quelques mètres avant la sortie, j’assure les quelques mouvements restants et je clippe le relais !!! Whouhooooooo !! 13h15, mes pieds retouche le sol. Je tombe dans les bras de mon assureur. Je ne réalise pas encore tout à fait … vraiment, c’est fait ? 13h30, Les copains arrivent juste à la falaise. On peut réserver le resto pour ce soir !

Comment se sent-on après la réalisation d’un tel projet ?

J’aimerai dire que ça m’a fait grandir … mais je ne crois pas Blague à part, ces périodes de transition sont toujours un peu particulières. Clipper le relais d’un projet à long terme c’est souvent une immense satisfaction mais passée l’euphorie de l’instant, il y a aussi toujours un peu de vide qui s’installe. Après avoir passé des mois à tout mettre en oeuvre pour un objectif, on est un peu comme déboussolé. Il faut se projeter vers le futur !

Et maintenant, quels sont les futures lignes que tu as en tête ?

J’ai plein de projets en tête, mais après cette période à rester focalisée sur une seule voie, j’ai surtout envie d’explorer plein de falaises différentes, me faire plaisir en variant les voies, brasser des mouvs ! On verra où le vent me portera !

Un dernier mot à ajouter?

Un immense MERCI à toutes celles et ceux qui ont pris part à ce projet ! Vous avez cru en moi, vous m’avez encouragée de près ou de loin, vous vous êtes bien caillés, on a bien rigolé. Bref, vous avez été incroyables !

Victor Guillermin enchaîne « Sachidananda », 9a+ à Orgon

Alors qu’il entrait dans le 9ème degré en décembre dernier en cochant le 9a « Estado Critico » à Siurana, le voilà qu’il enfonce le clou en venant à bout de « Sachidananda », 9a+ à Orgon juste après avoir remporté l’étape de coupe de France de difficulté à Marseille.

Libérée en 2009 par Gérome Pouvreau et initialement proposée à 9a, la cotation a finalement été revue à la hausse (9a+) lors de l’ascension de loin Zehani.

Voici le commentaire à chaud du principal intéressé…

L’objectif de la saison a dès le debut été d’enchainer « Sachidananda », parce que depuis que je grimpe au secteur du Canal a Orgon, j’ai toujours revé de grimper cette voie chargée d’histoire… Cette ligne, équipée en 1990, n’a été enchainée que par Gérome Pouvreau en 2009 et Loïc Zehani en 2018… c’était donc un sacré challenge pour moi de la faire!

« Sachi » peut se découper en 3 parties: une première partie (vraiment géniale) assez courte en 8c, avec des mouvements très physiques et aléatoires, notamment deux talons précaires qui m’ont posé beaucoup de problèmes… Après cette partie vient directement le crux de la voie en 7C+ bloc, qui consiste a remonter sur deux inversées dans du dévers a 40°, puis a broyer une arquée, placer une lolotte très ecartée, et se jeter sur une reglette bonne mais tranchante… Après ces pas vient une mauvaise decontraction sur une inversée, puis une derniere partie avec de grosses fermetures en 8b+ sur des règles… Je me suis donc entrainé spécifiquement pour cette voie cette année, c’est a dire en faisant beaucoup de rési de force, de force doigt et de travail de talon technique. Mais durant les 2 premiers trips, ca n’a pas suffit, je dépassais rarement la « marche d’approche » en 8c, très aléatoire, et même quand je la dépassais, je tombais explosé dans le crux… Et enfin, il y a quelques jours, j’ai réussi a passer le dynamique du crux, avec de très bonne condi, et à arriver à la décontraction… mais c’était trop beau pour être vrai, et je suis tombé, bien fumé, a quelques mouvs du relais, dans la dernière partie… Et là, mentalement ça a fait mal, parce que c’était la première fois  en 15 séances que je passais le crux, et je me suis rendu compte qu’en fait, la partie finale serait bien dure a négocier…

Mais finalement, 2 jours après la coupe de France de Marseille, sous les encouragements de Maho Normand ( qui a fait « Le Bronx » le même jour), j’ai réussi avec un gros combat a toper cette voie majeure !

Et petite anecdote, c’était le dernier run de la journée, juste avant de devoir rentrer en Normandie à cause de la pluie que c’est passé, alors que je n’étais pas spécialement frais mentalement et physiquement… comme quoi c’est jamais fini avant d’être terminé 😉

Maintenant, retour a l’entraînement parce que les Coupes d’Europe arrivent vite… Mais en parrallèle, je vais manger de la rési longue et des pinces en prévision du gros gros projet des années a venir : « les Yeux plus gros que l’Antre » de Seb Bouin!

Et la vidéo en bonus

La Sportiva présente le « Mantra », le chausson d’escalade qui offre plus de sensations sur le mur

– Communiqué –

Pour la saison printemps-été 22, la société du Trentin propose un produit d’excellence qui se caractérise par sa polyvalence et son confort.

7 avril 2022, Ziano di Fiemme (Italie) – La Sportiva, leader international de la production de chaussures et de vêtements outdoor, confirme, une fois encore, sa place de référence pour tous les amoureux des sports de montagne et la communauté des grimpeurs. À cet effet, la marque élargit sa gamme de produits dédiés au monde de l’escalade en présentant le Mantra, le chausson ultra léger conçu pour les moyens et hauts niveaux.

Le chausson est l’une des innovations majeures de La Sportiva pour la saison printemps-été 22. Son but est de satisfaire tous les grimpeurs en quête d’une adaptabilité et d’une sensibilité maximales sur tout type de prise et de surface tout en garantissant des mouvements naturels et une escalade fluide et engageante grâce à l’absence totale de contraintes.

D’un point de vue technique, l’empeigne du chausson est déconstruite et les épaisseurs des bords en caoutchouc sont réduites au minimum pour assurer une sensibilité maximale à l’approche de la surface.

Le Mantra associe la construction No-Edge, qui garantit une poussée homogène sur toutes les surfaces, à la technologie D-Tech™ (Dynamic Technology) : la semelle enveloppe ainsi la chaussure latéralement pour une absence totale de bords latéraux, favorisant des appuis dynamiques et un meilleur étalement sur les formes des prises et les volumes intérieurs. De plus, le composé Vibram® XS Grip2 offre une adhérence maximale sur n’importe quel type de surface et garantit à tous les grimpeurs d’excellentes performances et une expérience d’escalade inégalée.

Pour info, les Mantra sont actuellement en test sur PG, et on vous dira bientôt tout sur cette nouvelle arme signée La Sportiva… 

Le 4ème rassemblement Grimpeuses aura lieu les 18 et 19 juin à Ailefroide

– Communiqué –

Nous invitons des grimpeuses /oratrices qui font rêver par leurs aventures, leurs choix de vie et leur bagout. Cette année les deux oratrices seront Stéphanie Bodet et Marion Poitevin.

En plus de ces présentations, nous proposons des ateliers-discussions et des coachings en petits groupes adaptés au niveau et aux besoins de chacune, et nous aurons comme coaches illustres Salomé Romain, Caroline Ciavaldini, Coralie Havas, Fanny Girard et Isabelle Carrier!

Mais avant tout, « Grimpeuses » est l’occasion de rencontrer, d’échanger, et de grimper dans le cadre incroyable qu’est la vallée d’Ailefroide. Les 3 premiers rassemblements ont eu lieu à La Capelle-Masmolène, et cette année nous avions envie de nous rapprocher des montagnes!

Le programme:

  • Le Samedi: journée avec présentations, grimpe avec coaches, discussions
  • Le Dimanche: escalade libre avec crash pads à disposition.
  • Camping: En option nuit du vendredi et/ou du samedi en camping.

Quelques remarques:

  • les enfants sont les bienvenus dans la journée, nous pouvons même avoir une nounou si vous nous prévenez l’avance! (Merci Sonia!)
  • les hommes (conjoints, copains.…) sont les bienvenus à la soirée, ils devront seulement payer leur diner.

Pour vous inscrire c’est par ici

Le Climbing Tour La Sportiva démarre bientôt

– Publi Communiqué –

À VOS MARQUES, PRÊTS, PARTEZ : L’AMBITIEUX PROJET LA SPORTIVA CLIMB EUROPE SUR LA LIGNE DE DÉPART

Six salles d’escalade d’Europe se donnent rendez-vous samedi 30 avril pour animer des ateliers, des rencontres avec des athlètes et des tests de produits. Ce sera aussi l’occasion de découvrir la star de l’événement : le tout nouveau chausson d’escalade Mantra.

14 avril 2022, Ziano di Fiemme (Italie) – La Sportiva présente son nouveau projet Climb Europe.

Organisé par l’entreprise du Trentin, ce rendez-vous très attendu est dédié à tous les passionnés et à l’ensemble de la communauté de l’escalade. Ce projet important pour l’entreprise du Val di Fiemme a été développé en collaboration avec quelques-unes des salles de sport les plus célèbres d’Europe dans le but d’initier plus de personnes au monde de l’escalade. Climb Europe est aussi l’occasion de découvrir et de tester les nouveautés mises sur le marché par La Sportiva pour la saison printemps-été 22, notamment le tout nouveau chausson Mantra, produit phare de la collection.

Le projet commencera samedi 30 avril dans six salles de sport à Milan, Paris, Londres, Madrid, Vienne et Munich, qui accueilleront simultanément l’étape de départ de ce long voyage européen. Tout au long de la journée, les visiteurs pourront participer à deux ateliers de formation, un le matin et un l’après-midi, avec quelques-uns des plus grands représentants du monde de l’escalade de l’équipe La Sportiva. Parmi les athlètes qui ont répondu à l’appel, on peut citer de grands noms mondialement reconnus tels que James Pearson, Caroline Ciavaldini, les frères Pou, Neil Gresham, Stefano Ghisolfi et Martina Demmel.

Par la suite, tous les participants de la première étape de Climb Europe qui souhaitent se mettre en jeu pourront grimper et tester le nouveau chausson d’escalade Mantra printemps-été 22 de La Sportiva, un modèle léger et minimaliste qui s’adapte parfaitement aux surfaces intérieures, conçu pour les grimpeurs de niveau intermédiaire et élevé en quête de sensibilité, d’adhérence et de polyvalence d’utilisation supérieures sur tout type de prise, en tête comme en bloc.

Le dimanche 1er mai marquera le coup d’envoi du Climb Europe Tour, une série d’événements ouverts au public dans 71 salles de sport à travers 14 pays européens. Ce projet ambitieux n’a pas comme seul objectif de permettre aux passionnés de tester les nouveautés d’escalade de la marque du Trentin. Il souhaite également éduquer les passionnés dans le choix des chaussures utiles pour l’escalade selon le « Test&Feel », une philosophie qui permet d’essayer le produit et d’apprendre à le sentir au pied afin d’acquérir plus de sensibilité et d’expérience. Enfin, chaque personne inscrite à l’une des étapes du tour aura la possibilité de gagner des produits de la marque et un billet pour l’International Athlete Meeting qui aura lieu au siège de La Sportiva, dans le Val di Fiemme, en octobre 2022.

Plus une seconde à perdre ; vous pouvez vous inscrire à l’étape la plus proche de chez vous et ainsi vivre des moments de pure adrénaline sur les meilleurs murs d’Europe.

Voici le programme du samedi 30 avril dans les six villes européennes :

  • 10 h – 13 h : Workshop réservé aux médias avec deux athlètes La Sportiva
  • 11 h – 13 h : 1er workshop grand public avec un athlète de l’équipe La Sportiva
  • 13 h – 14 h : pause déjeuner
  • 14 h – 16 h : 2e workshop avec un athlète de l’équipe La Sportiva
  • 16 h – 21 h : test produit et animation musicale

Nolwen Berthier enchaîne son gros projet: « SuperCrackinette » !

La falaisiste française vient de frapper très fort… Nolwen Berthier vient d’enchaîner son gros projet du moment, la ligne mythique de « SuperCrackinette » à Saint Leger, 9a+.

Pour rappel, la première féminine revient à Julia Chanourdie en mars 2020, qui devenait à l’époque la seule française à atteindre ce niveau de difficulté. Nolwen Berthier la rejoint donc, et elles sont désormais 2 françaises à avoir atteint le mythique niveau de 9a+. Pour la petite histoire, en plus d’entrer dans le 9a+, elle entre également pour la première fois dans le 9ème degré… Reste à savoir quels seront ses futurs projets? Nous en saurons un peu plus lors d’une interview que nous sommes en train de réaliser, mais en attendant, voici son commentaire à chaud:

Ces derniers mois, j’ai consacré beaucoup d’énergie à essayer d’aligner tous les paramètres nécessaires à l’enchaînement (la forme, les condi météo, l’envie, etc …). Ce week-end, les étoiles se sont alignées. Pour la première fois, j’ai réussi ce premier crux qui me posait tant de problèmes … et je ne suis pas tombée dans celui du haut !!! Ce scénario idéal, j’en ai rêvé, mais la probabilité de le concrétiser était tout de même très limitée. J’ai encore un peu du mal à réaliser …

Le Tout A Blocs 2022 débarque du 25 au 30 juillet

Pour la 29 ème édition, la plus ancienne des compétitions d’escalade en Europe revient ! Réservez votre dernière semaine de juillet, vous ne serez pas déçu.

Au programme, un planning très chargé, à destination de tous les publics:

les deux journées de Micro-TAB, en début de semaine, destinées aux catégories poussions à cadets, la journée phare du jeudi avec l’Open international ouvert à tous, un peu de rocher naturel à Ailefroide avec toujours quelques nouveautés, et enfin les grandes finales festives du samedi soir, pour toujours plus de spectacle et de festivités !

Et toujours ce crédeau du TAB : la bonne humeur, et le mélange des publics, professionnels et amateurs, autour d’une même passion.

2 médailles d’or pour les U16 sur la coupe d’Europe de bloc de Chambéry

Après les U18 et les U20 samedi, ce dimanche était consacré à la catégorie des U16, et le moins que l’on puisse dire c’est que nos jeunes français ont frappé fort puisqu’ils ramènent une médaille d’or chez les fille et une médaille d’or chez les garçons!

Chez les demoiselles, le holdup nous vient de la Chambérienne Louise Puech Yazid. Dernière qualifiée pour les finales de la coupe d’Europe, elle remonte de 10 places au classement en finale pour venir s’imposer sur la plus haute marche du podium. Ne partant pas favorite dans le camp tricolore (elle n’atteignait pas la finale des championnats de France), elle réalise un round finale presque parfait avec 4 blocs en 5 essais. La championne de France en titre, Meije Lerondel , se contentera de la 7ème position, et Sophia Douglas terminera 9ème.

Chez les garçons, le Valentinois Samuel Richard était pressenti pour une belle performance. Après avoir remporté le tour des qualifications, il récidive en finale en étant le seul à toper 4 blocs, e en 5 essais s’il vous plaît. L’autre français en lice sur ces finales, Max Bertone, prend la médaille en chocolat (4ème) avec 2 blocs topés.

4 premières médailles tricolores sur la coupe d’Europe de bloc jeunes à Chambéry

La première journée de la coupe d’Europe de bloc jeunes à Chambéry s’est achevée hier soir avec les finales U18 et U20, et nos jeunes français sont repartis avec 4 médailles au total.

2 médailles de bronze pour les U18

Côté féminin, on retrouvait 4 françaises en finale, et c’est Kaina Viviand (championne de France en titre) qui s’en sortira le mieux en topant 2 blocs, ce qui la propulse sur la 3ème marche du podium, une belle médaille de bronze donc. Sur la plus haute marche du podium on retrouve la Néerlandaise Sabrina Van Essen qui sera la seule à toper tous les blocs de finale. Enfin, l’Ukrainienne Anastasia Kobets prend l’argent. Dans le clan français, Julie Roquebernou termine 5ème avec un bloc au compteur, Louna Deshayes 7ème avec 3 zones, et Lana Bonnal 8ème avec 3 zones également.

Chez les garçons, la partie était plus serrée que chez les filles… Si les français occupaient le haut du classement en qualification, ils laissent finalement l’Autrichien Julian Wimmer s’imposer avec 3 tops. Le Bulgare Slav Kirov coche quant à lui 2 blocs et 4 zones, et c’est le français Tolani Etchar qui prend la médaille de bronze avec 2 blocs également mais seulement 3 zones validées. C’est d’ailleurs un tir groupé des français qui valident tous 2 blocs et 3 zones, et qui se classent donc suivant le nombre d’essais: Lubin Leroy termine 4ème et Thomas Lemagner 5ème.

Or et Argent chez les U20

C’est chez les filles que nos tricolores se sont particulièrement illustrés. Avec 3 blocs en 4 essais, Selma Elhadj Mimoune monte sur la plus haute marche du podium! Après sa 3ème place sur les championnats de France, elle nous démontre une nouvelle fois l’envergure de son talent, une jeune dont on devrait entendre parler encore quelques temps d’autant que cette médaille d’or lui permet de se qualifier pour les championnats du monde jeunes cet été…  On retrouve sur la deuxième marche du podium de cette coupe d’Europe la championne de France en titre, Agathe Calliet, avec 2 blocs et 3 zones au compteur. Elsa Ravinet termine 5ème et Kintana Iltis 9ème.

Chez les garçons, pas de podium! Avec 2 blocs et 2 zones, Louison Burtin, Eliot Barnabé et Etienne Abriat terminent respectivement 5ème, 6ème et 7ème. Tanguy Merard se contentera de la 9ème place avec un seul bloc topé. Dans le haut du classement ce sont les jeunes allemands qui s’illustrent en occupant les 2 premières places: Emil Zimmermann prend l’or avec 3 blocs validés et Thorben Perry Bloom l’argent. Sur la 3ème marche du podium on retrouve le Néerlandais Paul Brand.

Aujourd’hui place à la catégorie des U16 avec les qualifications qui ont d’ores et déjà débuté. Restez connectés!

Meiringen: Première médaille d’or de la saison pour Janja Garnbret, Oriane Bertone 4ème.

Ua regard des tours de qualification et de demi-finale, il y avait peu de chance que la mutante slovène, Janja Garnbret, se laisse dépasser par ses émotions. Après 5 blocs à vue en qualifs, 4 blocs à vue en demi, elle parviendra au sommet des 4 blocs de finale en 5 petits essais. On n’est pas loin de la perfection… Et la performance est d’autant plus impressionnante que ses adversaires ne la talonnent pas!

En effet, sa concurrente directe, l’Américaine Natalia Grossman, qui avait très forte impression l’année dernière, se contentera de la médaille d’argent avec 3 blocs en 8 essais et 4 zones en 16 essais.

Derrière, l’écart se creuse puisque la médaille de bronze revient à la suissesse Andréa Kumin avec seulement un bloc au compteur et 2 zones. Performance équivalente pour notre française Oriane Bertone, mais avec 2 petits essais de plus pour atteindre la zone du bloc 2 ce qui la place au pied du podium. Elle n’aura donc pas réitéré son exploit de l’année dernière où elle montait sur la deuxième marche du podium sur cette même étape, entre les machines Janja Garnbret et Natalia Grossman. Mais qu’importe, Oriane ne monte certes pas sur le podium mais engrange tout de même du capital confiance pour la suite de la saison. Elle nous prouve sur cette première étape qu’il faudra compter sur elle cette année, et c’est bien là l’essentiel.

Plusieurs questions se posent suite à cette première étape… Qui parviendra à stopper la machine slovène Janja Garnbret? Comment jouer dans la même catégorie qu’elle au regard de la facilité avec laquelle elle avale les blocs de coupe du monde les uns après les autres? Natalia Grossman parviendra-t-elle à aller la chercher…? Une chose est sure, la saison promet d’être palpitante, et nous avons d’ores et déjà hâte de voir la prochaine étape à Séoul du 6 au 8 mai.

Les résultats de la finale

Coupe d’Europe de bloc jeunes: une flopée de français en finale

Alors que la première étape de coupe du monde de bloc se joue actuellement à Meiringen, en parallèle les meilleurs espoirs européens se sont donnés rendez-vous à Chambéry pour une première étape de Coupe d’Europe de bloc.

Ce matin, ce sont les U18 qui ont ouvert le bal, et le moins qu’on puisse dire c’est que les français ont frappé fort… Chez les filles, elles sont 4 à se qualifier en finale sur les 10 places possibles: Lana Bonnal (5ème) Louna Deshayes (6ème), Julie Roquebernou (8ème) et Kaina Viviand (9ème). Côté garçon, si « seulement » 3 tricolores seront en finale ce soir, deux se payent le luxe de truster les 2 premières places du classement des qualifications: Thomas Lemagner (1er), Lubin Leroy (2ème) et Tolani Etchar (8ème).

Chez les U20, même topo! Côté filles, elles seront 4 en finale, et deux d’entres elles occupent le haut du classement des qualifications: Agathe Calliet et Selma Elhadj Mimoune terminent à la première place ex-aequo en cochant les 5 blocs à vue. Elsa Ravinet prend la 4ème position, et Kintana Iltis 10ème. Chez les garçons, 4 on retrouvera la encore 4 représentants français en finale! Eliot Barnabé termine 3ème, Tanguy Merard 5ème, Etienne Abriat 7ème et Louison Burtin 10ème.

Climb Up Aubervilliers: La plus grande salle indoor d’Europe ouvre dans 3 semaines

Climb Up ouvre sa 27ème salle dans moins de 3 semaines, et ce sera la plus grande salle d’escalade indoor d’Europe.
Elle compte pas moins de 200 relais – avec 3 à 4 voies par relai), 170 mètres linéaires d’espaces dédiés aux blocs, un grand Fun Climbing, un sauna, ainsi qu’un restaurant. Le tout à quelques arrêts de métro de Paris.
Cette salle est hors norme par sa taille, il aura fallu plus de 4 semaines à une petite dizaine d’ouvreurs pour ouvrir tous les passages.

  • A noter que Climb Up met en vente des abonnements dès maintenant à prix réduit: cliquez ici 
  • Ouverture prévu le 21 Avril 2022 à 8h
  • Soirée d’inauguration en Mai

« C’était pas assez tassé », nouveau 8c pour Amandine Loury à Saint Leger

C’est ce qu’on appelle une journée rondement menée: 15h20, fin de la journée de boulot, puis 50 minutes de voiture direction la falaise de Saint Leger, 16h20 début de l’échauffement, 17h20 enchaînement du 8c « c’était pas assez tassé » lors du premier run de la journée. Efficace vous avez dit? nous dirions que oui… Quoiqu’il en soit, la Bourguignonne expatriée dans le sud de la France est toujours aussi en forme, et elle aurait même quelques projets un peu plus que ce qu’elle a l’habitude de faire.

Même si je suis vraiment contente d’avoir enchaîné cette superbe voie que je n’avais pas réussi à faire l’an passé, elle ne constitue pas une fin en soi. Mon objectif de cette année est de passer un cap en terme de difficulté. Ayant eu peu de temps pour aller en falaise jusqu’à maintenant (mis à part le week-end) à cause du boulot, j’en ai profité pour m’entraîner un peu. Et le côté positif c’est qu’actuellement j’en ressens les effets. Maintenant il va falloir trouver les opportunités pour aller essayer quelques voies plus dures telles que « Mollasson » 8c+/9a à Mollans. Pour l’instant je n’y suis allée que deux fois cette année, mais j’ai clairement ressenti une différence avec mes premières montées dedans il y a deux ans. C’est super encourageant et motivant de voir des progrès dans ses projets, du coup j’ai trop hâte d’y retourner!

Le we prochain, direction Gémozac pour une nouvelle étape de coupe de France de difficulté

Après une pause forcée, le club GEM renoue avec l’organisation de compétitions, et plus particulièrement une étape de coupe de France de difficulté qui se déroulera les 2 et 3 avril prochains à Gémozac. Pour l’occasion les catégories jeunes (U16, U18 et U20) ainsi que les seniors seront de la partie.

Découvrez ci-dessous le programme prévisionnel du we:

Vendredi 01 Avril 2022

Accueil-Pointage compétiteurs toutes catégories : 18h à 21h.

Samedi 02 Avril 2022 :

– 7h45 Ouverture zone échauffement, lancement vidéo démos

– 7h45 à 8h30 pointage compétiteurs U16 et seniors.

– 9h00 début qualifications Q1, Q2 ET Q3 U16 et seniors dames et hommes.

– 15h à 15h45 Accueil pointage U18 et U20

– 16h Finales U16 et seniors dames et hommes.

– 17h30 : Podiums

Dimanche 03 Avril 2022

– 7h45 : Ouverture zone échauffement, lancement vidéo démos

– 7h45 à 8h30 : pointage compétiteurs U18 et U20.

– 9h00 : début qualifications Q1, Q2 ET Q3, U18 et U20, dames et hommes.

– 15h45 : Finales U18 et U20, dames et hommes.

– 17h : Podiums

Présentation du nouveau pantalon Pro Model par Looking For Wild

– Publi communiqué –

Un pantalon d’escalade pour grimper encore plus fort

5 ans après la sortie de leur tout premier modèle (le pantalon technique Fitz Roy), Looking for Wild s’est confronté au retour de grimpeurs d’expérience comme Tom Bolger afin d’élaborer une version destinée à la haute performance en escalade : le Pro Model.

Résistance et respirabilité accrue sont les maitres mots de ce nouveau pantalon qui vient compléter la gamme escalade de Looking for Wild.

Grâce à toutes ses caractéristiques, le pantalon Pro Model s’adresse à tout type de grimpeurs ! Du grimpeur débutant désireux d’acheter un pantalon confortable et polyvalent pour l’aider dans sa progression, au grimpeur touche à tout et confirmé, souhaitant un pantalon très résistant pour l’accompagner dans leurs sorties en falaise comme en salle.

Pour cela, l’équipe a opté pour une matière tissée en Suède par FOV, conservant cette logique de circuit court ancrée dans les valeurs de la marque.

Allant du XS au XL, ce pantalon de 250g conserve la coupe et le stretch du mythique Fitz Roy a pour garder le confort et la facilité de mouvement !

Il est donc recommandé pour des sessions en voie, en bloc ou en salle grâce à ces 3 atouts majeurs :

  • Confort
  • Résistance
  • Légèreté

Ce pantalon saura donc s’adapter à votre pratique et vous suivre partout en vous garantissant une grande résistance pour vous aider à dépasser vos limites.

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