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Matos: Le pantalon idéal pour grimper

– Publi Communiqué –

Trouver un pantalon qui résiste à l’abrasion de la roche et des murs en salle et qui soit assez souple pour suivre tous les moves que la grimpe lui impose, c’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin : pas évident.

Pour Jérémy Bonder, « un pantalon d’escalade doit être léger, élastique, très agréable pour grimper afin que tous les mouvements se fassent sans résistance. Malheureusement beaucoup de pantalons ne réunissent pas tous ces critères et c’est un vrai problème pour moi qui grimpe quasiment tout le temps en pantalon. »

De la souplesse

Un bon pantalon d’escalade, c’est un pantalon stretch. Pour avoir le plus d’élasticité, SNAP opte pour un tissu « bi-stretch », indispensable pour suivre tous les moves, même les plus bizarres. Sans pour autant réussir à caler son pied à côté de sa tête à la Adam Ondra, il faut que votre pantalon idéal de grimpe ne soit un frein à aucun mouvement. Le bi-stretch (ou four-way-stretch en anglais) est un mode de tissage d’un fil d’élasthanne autour de la chaîne et de la trame du tissu lui permettant une élasticité dans toutes les directions.

SNAP a été une des premières marques à fabriquer des pantalons bi-stretch écolo à base de coton bio ou de mélange coton bio/polyester recyclé.

De la résistance

La souplesse acquise, on est en droit de se poser la question : est-ce que les pantalons stretch et souples résistent à l’abrasion et aux frottements à répétition de la roche ? Ou du grain des prises et des murs en salle ? De la trame de pur coton bio épaisse au mélange à base de polyester recyclé, les matériaux utilisés permettent aux modèles de résister dans le temps à toutes les épreuves que les grimpeurs leur imposent.

Clément Lechaptois grimpe depuis plusieurs mois avec le wide pants kaki :

Tous mes futes sont usés aux fesses, c’est le pantalon le plus résistant que j’ai trouvé

Du style

La technicité des matériaux utilisés permet de s’affranchir des contraintes liées à l’escalade dès lors qu’il s’agit de créer des pièces aux looks urbains. Passer du travail à la salle de grimpe avec le même pantalon est désormais possible sans nuire aux performances d’un côté comme de l’autre !

Pour Caroline Sinno il faut que la coupe soit jolie, serrée au niveau des fesses et pas trop au niveau de la taille, ce pourquoi elle préfère les legging ou le skinny jean pants.

Et une petite vidéo pour terminer… 

Eco-responsabilité dans le textile: comment transformer les mots en actes? SNAP répond à nos questions…

Alors que de nombreuses marques se lancent dans le textile « éco-responsable », nous avons voulu en savoir plus sur cette démarche. C’est dans cette optique que nous avons envoyé quelques questions à Gregoire De Belmont, directeur général de Arkose&Co qui a racheté SNAP en 2017, et qui oriente la marque et notamment sa gamme textile vers une production éco-responsable. 


Peux-tu nous faire un petit rappel historique de la marque SNAP ?

Née dans les années 90 à Chamonix, SNAP est une marque française d’équipements et de vêtements d’escalade qui s’est faite remarquer pour sa vision indépendante et innovante. SNAP est à l’origine de nombreuses inventions : dégaines à doigt fils, crash pads pliables en quatre, système d’amorti Air Technology, etc. Aujourd’hui la marque a migré à Annecy et crée les codes d’une néogrimpe spontanée, un mode de vie décomplexé entre ville et nature.

Quand a-t-elle été reprise par Arkose, et pourquoi ?

En 2017, Patrick Delozanne, le fondateur de SNAP décide de revendre les 2/3 de SNAP au groupe arkose&co, tout en restant Directeur Général et responsable des produits d’escalade. Cette alliance permet à la marque de grimper plus haut : développer son offre commerciale sur le textile et la bagagerie, créer une gamme de prises avec SNAP HOLDS et surtout prendre un tournant écologique. Ces nouvelles ressources ont également permis d’agrandir le réseau de distribution, à l’étranger et en France notamment au sein des blocpark Arkose, où la marque se positionne aux côtés des noms les plus établis dans l’industrie.

Quelle est la ligne directrice de SNAP aujourd’hui ?

Intégrer l’éco-conception de plus en plus tôt dans le développement de nos produits tout en répondant aux besoins d’une nouvelle génération de grimpeurs qui cherchent à concilier style et technicité.

On parle pas mal d’éco-responsabilité dans le textile, mais ce n’est pas toujours simple de transformer les mots en actes, qu’en est-il pour SNAP ?

Depuis 2017, 100% des matériaux qu’on utilise sont plus respectueux de l’environnement que des matériaux standards. Nous privilégions un sourcing naturel: coton bio, chanvre, tencel (cellulose de bois), laine mérinos… Pour l’élasticité des pantalons, indispensable à la grimpe, personne n’a encore inventé de matière 100% écologique, donc nous avons fait développer des tissus qui allient l’élasthanne à des matières naturelles ou recyclées. C’est un casse-tête et un frein au développement de certains produits mais c’est un travail passionnant de recherches et un fondamental pour la marque.

Notre effort de recherche ne se limite pas aux vêtements et englobe bien la totalité des produits. Les moyens supplémentaires que nous apporte le groupe arkose&co nous permettent d’aller encore plus loin: réalisation d’un bilan carbone en 2020 qui nous a permis d’identifier les principales sources de pollution de nos produits, ainsi que l’investissement dans un outil d’analyse du cycle de vie dont le but est d’optimiser l’impact environnemental de chacun de nos produits.

Le marché de l’occasion est en plein boum ces dernières années, et notamment pour le textile. Lorsqu’on est une entreprise comme SNAP qui produit des fringues (et que la rentabilité passe forcément par le taux de vente), mais qu’on a en même temps une vision éco responsable et qu’on doit donc soutenir le « seconde main », comment ne pas se faire des noeuds au cerveau ?

C’est difficile de se proclamer écolo et d’être drivé par les ventes évidemment, mais notre mission est surtout de chercher à fabriquer les produits les plus durables possible afin de favoriser leur seconde vie. Pour éviter la surconsommation on insiste aussi sur la réparation textile/bagagerie/crash pad. SNAP étant basé à Annecy, on travaille avec un atelier de réparation du coin qui répare les produits abimés au lieu d’en renvoyer un neuf lorsqu’ils sont trop usés et nous comptons bien étendre ce service à de plus en plus de pays.

L’un des problèmes du textile aujourd’hui, et notamment chez certains grand groupes, ce sont les multi-collections annuelles qui poussent à consommer toujours plus. Ton avis la dessus ?

Bien sûr chez SNAP nous sommes totalement contre la fast fashion. C’est clairement l’idée de notre positionnement : miser sur des gammes intemporelles en réfléchissant soigneusement au choix des couleurs et aux formes pour créer des pièces faciles à garder d’année en année.

On commence à voir quelques forts grimpeurs sponsorisés par SNAP, sont-ils tous sélectionnés en fonction de leurs idées éco citoyennes ?

Oui, l’ambassadeur SNAP doit se déplacer à vélo et ne jamais mettre un pied au Mc Do ! Je caricature légèrement mais c’est presque ça : être passionné de grimpe ou d’un autre sport outdoor, être en phase avec les valeurs écologiques de SNAP, représenter la dualité d’un mode de vie équilibré entre ville et nature.

Un dernier mot à ajouter ?
SNAP reste une toute petite boîte de 7 personnes, ce qui est très peu si on se compare ne serait-ce qu’à des marques comme Picture, mais c’est beaucoup quand on sait qu’en 2017 Patrick était encore tout seul! Forcément on a un travail immense à réaliser mais on a hâte de développer tous les projets qu’on a en tête !

Étre écolo jusqu’au bout du pad, c’est possible avec SNAP

– Publi-communiqué –

Fabriquer des beaux pads, des vêtements techniques et des sacs fabriqués avec des matériaux à impact limité sur la planète, tel était le nouveau rêve de SNAP.

La marque qui fête cette année ses 25 ans, s’est fait connaître avec son côté rebelle et ses innovations : premier crash pad pliable en 4, le quarterpounder, ses légendaires pizzas, ses premières dégaines à doigt fil en France… En 2017 elle a pris un nouveau tournant, celui de l’éco-conception.

Comment un crash pad ou un sac peut-il être écolo ? Quelles sont les matières utilisées pour que le matos reste sûr et résistant ? Quelles sont les matières à favoriser quand on choisit des vêtements eco-friendly?

Des crash pads et sacs en bouteilles en plastique recyclées

Le grand challenge avec la grimpe c’était de réussir à faire des crash pads et des sacs robustes malgré l’abandon des matériaux classiques très polluants. Le tissu doit être souple, résistant, facile à nettoyer… La solution du polyester recyclée s’est vite imposée: au lieu d’utiliser un polyester standard à base de pétrole, SNAP a développé ses toiles de crash pad et de sacs à base de bouteilles en plastiques recyclées. Elles sont réduites en pastilles, fondues et transformées en fibre recyclée qui servira à créer du tissu. Il faut un peu plus de vingt-cinq bouteilles pour obtenir un mètre de Polyester 900 denier. Vous pourrez désormais vous targuer d’avoir un crash pad ou un sac en bouteilles en plastique recyclées !

Des vêtements stretch et écolo, pour la ville comme pour la grimpe

Tout le monde a un petit T-shirt en coton bio dans sa garde-robe, maintenant, ça devient presque un basique et tant mieux ! Mais comment ça se passe pour les pantalons ?

A force de recherches pour allier l’élasticité et la robustesse, la formule magique est apparue dans un mélange de coton bio, de polyester recyclé et d’elasthanne. SNAP a développé un tissu bi-stretch aux propriétés bien moins polluantes qu’un tissu standard, et fait ses marques avec le succès de son pantalon signature, le chino, idéal au quotidien, en ville pour aller travailler ou pour aller grimper !


Les produits SNAP chez notre boutique partenaire CHULLANKA

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